En limitant l'ISF aux seuls biens immobiliers, et en sortant donc tous les biens dits meubles, l'Exécutif pensait principalement aux produits financiers (actions, obligations, assurance-vie, livrets, comptes bancaires, etc). C'était sans compter la levée de boucliers qui concerne les yachts et les grosses cylindrées, qui sont des biens meubles, et sortent donc logiquement du calcul de l'ISF. Du coup, attaqué, le Gouvernement se montre désormais ouvert, via la voix de son ministre de l'économie Bruno Le Maire, à revoir sa copie pour ce qui concerne ces deux types de biens. Le débat ne fait que commencer!