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CREDIT AGRICOLE SA : Résultats du premier trimestre 2019 - Bonnes performances dans tous les pôles métiers

Article du 15/05/2019

Source :
GlobeNewswire























Montrouge, le 15 mai 2019



Résultats du premier trimestre 2019


Bonnes performances dans tous les pôles métiers


 






















 



Crédit Agricole S.A.



 



 





  • RNPG[1] sous-jacent[2] : 796 mEUR, +1,0% T1/T1, +8,2% sur les pôles métiers (hors Activités hors métiers-AHM)



  • RNPG1 publié : 763 mEUR, -10,9% T1/T1, PNB publié : 4 855 mEUR, -1,1% T1/T1



  • Bénéfice par action sous-jacent2 : 0,23 EUR (-0,9% T1/T1)



  • PNB sous-jacent2 : +0,1% T1/T1 et +1,0% sur les pôles métiers : bon niveau d'activité en BFI (+3,3%) et Banque de proximité en France (+1,3%)



  • Maîtrise confirmée des charges sous-jacentes2 : stables hors FRU[3], traduction de l'efficacité opérationnelle des métiers ; coefficient d'exploitation sous-jacent stable (63,3%) hors FRU3 mais y compris l'impact des autres charges IFRIC 21 enregistrées seulement au T1



  • Hausse sensible du FRU3 : +13,9% T1/T1 à 332 mEUR, RNPG sous-jacent2 hors FRU : +3,5% T1/T1



  • Baisse notable du coût du risque : -28,4% T1/T1, toujours à un niveau bas : 21 pb[4] au T1-19, -7 pb T1/T1



  • Ratio CET1 : 11,5%, supérieur à l'objectif de 11%




 



Groupe Crédit Agricole*





  • RNPG1 publié : 1 350 mEUR, -5,5% T1/T1, PNB publié : 8 196 mEUR, -0,7% T1/T1



  • RNPG1 sous-jacent2 : 1 435 mEUR, +6,1% T1/T1, +9,9% sur les pôles métiers (hors pôle AHM)



  • Très bonne maîtrise des charges sous-jacentes2 hors FRU3 : -1,1% T1/T1, effet de ciseaux positif de 2 pts



  • Hausse du FRU3 : +17,4% T1/T1 à 422 mEUR, RNPG sous-jacent2 hors FRU3 : +8,1% T1/T1



  • Caisses régionales (IFRS) : hausse du PNB sous-jacent2 grâce à la bonne tenue des commissions et à la revalorisation positive du portefeuille titres, stabilité des charges hors FRU3 et baisse notable du coût du risque



* Crédit Agricole S.A. et Caisses régionales à 100%.



Ce communiqué de presse commente les résultats de Crédit Agricole S.A. ainsi que ceux du Groupe Crédit Agricole, qui regroupe les entités de Crédit Agricole S.A. et les Caisses Régionales du Crédit Agricole, lesquelles détiennent 56,3% de Crédit Agricole S.A. Les éléments spécifiques qui, retraités des différents soldes intermédiaires auxquels ils se rapportent, permettent de calculer les résultats sous-jacents, sont détaillés en p. 13 (pour Crédit Agricole S.A.) et p. 14 (Groupe Crédit Agricole) de ce communiqué. Un rapprochement entre le compte de résultat publié et le compte de résultat sous-jacent se trouve en p. 15 et suivante pour le Crédit Agricole S.A. et en p. 17 et suivante pour Groupe Crédit Agricole.


Crédit Agricole S.A.


Résultats de bon niveau dans tous les pôles métiers




  • Hausse du RNPG sous-jacent +1,0% T1/T1, métiers hors pôle AHM[5] +8,2%



  • Environnement de marché favorable et croissance rentable en BFI :
    emplois pondérés (EP) +2,5% mars/déc., ratio revenus/EP en Banque de financement : +5 pb T1/T1



  • Excellente performance de la Banque de proximité en France : RNPG sous-jacent +17,7%,
    effet de ciseaux positif de +4,5 points, coût du risque en baisse : -12,4%



  • Hausse de la contribution au FRU : +10,5%/-30 mEUR à -308 mEUR en RNPG



Poursuite de la performance commerciale et des ventes croisées




  • Haut niveau de collecte nette en assurance-vie tirée par les contrats en euro, poursuite de la forte croissance du chiffre d'affaires et progression des taux d'équipement en assurance-dommages



  • Croissance des encours de crédit dans l'ensemble des réseaux de proximité



  • Hausse des niveaux de production dans les Services financiers spécialisés, en particulier des partenariats automobiles en crédit à la consommation



Bonne maîtrise des coûts




  • Stabilité des charges hors FRU : +0,1% T1/T1, coefficient d'exploitation hors FRU stable à 63,3%



Coût du risque toujours à un niveau très bas




  • -28,4% T1/T1, coût du risque sur encours à 21 pb (-7pb T1/T1)



  • Amélioration du taux de douteux : 3,3% (-0,9 pp mars/mars) et taux de couverture : 73,6% (+1,2 pp)



Solidité financière confirmée : CET1 stable mars/déc.




  • Ratio CET1 : 11,5%, toujours supérieur à l'objectif de 11%



  • Hausse des emplois pondérés sur un an (+4,5%), notamment ce trimestre pour la BFI, qui a tiré parti de conditions de marchés favorables



 


Le Conseil d'administration de Crédit Agricole S.A., réuni sous la présidence de Dominique Lefebvre le 14 mai 2019, a examiné les comptes du premier trimestre 2019.


 


Au premier trimestre 2019, le résultat net part du Groupe publié atteint 763 millions d'euros, contre 856 millions d'euros au premier trimestre 2018, en baisse de -10,9%. Cette baisse est entièrement imputable aux éléments spécifiques[6] des deux périodes comparées.


Ceux du premier trimestre 2019 ont eu un effet net négatif de -33 millions d'euros sur le résultat net part du Groupe, ils comprennent ce trimestre uniquement les éléments de volatilité comptable, à savoir, les variations des provisions Epargne logement à hauteur de -13 millions d'euros en résultat net part du Groupe (-21 millions d'euros avant impôts et minoritaires), le DVA (Debt valuation adjustment) pour -6 millions d'euros et la couverture des portefeuilles de prêts pour -14 millions d'euros. Au premier trimestre 2018, les éléments spécifiques avaient affecté le résultat net part du Groupe à hauteur de +68 millions d'euros, incluant principalement l'ajustement du montant de badwill constaté lors de l'acquisition des trois banques italiennes à hauteur de +66 millions d'euros (+86 millions d'euros avant impôts et minoritaires), les frais d'intégration de Pioneer pour -4 millions d'euros (-9 millions d'euros en charges d'exploitation) et les éléments récurrents de volatilité comptable pour +6 millions d'euros.


Hors ces éléments spécifiques, le résultat net part du Groupe sous-jacent du premier trimestre 2019 atteint 796 millions d'euros, en hausse de +1,0% par rapport au premier trimestre 2018. Cette légère hausse traduit les effets contrastés suivants :




  • une bonne performance des pôles métiers : leur contribution au résultat net part du Groupe hors pôle Activité Hors Métiers (AHM) affiche une hausse de +8,2% entre les deux trimestres ;



  • une dégradation ponctuelle du pôle Activité Hors Métiers (AHM) : sa contribution au résultat net part du Groupe sous-jacent est négative à hauteur de -287 millions d'euros, contre -213 millions d'euros au premier trimestre 2018 (soit -74 millions d'euros) qui s'explique par des éléments de volatilité comptable non classés en éléments spécifiques.



Les revenus et les coûts hors FRU sous-jacents restent stables entre les deux périodes (+0,1% chacun). La baisse du résultat brut d'exploitation (-2,7%/-41 millions d'euros) s'explique donc entièrement par la forte hausse (+13,9% par rapport au premier trimestre 2018) de la contribution au Fonds de résolution unique, soit +41 millions d'euros. Elle est plus que compensée par la poursuite de la baisse du coût du risque de crédit (à 225 millions d'euros, soit -28,4%/-89 millions d'euros par rapport au premier trimestre 2018), celui-ci demeurant toujours à un niveau bas rapporté aux encours, à 21 points de base. Le résultat net part du Groupe sous-jacent ressort donc en hausse de +1,0%. Hors FRU, la hausse aurait été de +3,5%.


 


Table 1.       Résultats consolidés de Crédit Agricole S.A. au T1-19 et au T1-18

















































































































































































En mEUR



T1-19
publié



T1-18
publié



 Var. T1/T1
publié



T1-19
sous-jacent



T1-18
sous-jacent



Var. T1/T1
sous-jacent


       

Produit net bancaire



4 855



4 909



(1,1%)



4 903



4 900



+0,1%



Charges d'exploitation hors FRU



(3 104)



(3 110)



(0,2%)



(3 104)



(3 100)



+0,1%



FRU



(332)



(291)



+13,9%



(332)



(291)



+13,9%



Résultat brut d'exploitation



1 419



1 508



(5,9%)



1 467



1 508



(2,7%)



Coût du risque de crédit



(225)



(314)



(28,4%)



(225)



(314)



(28,4%)



Coût du risque juridique



-



-



ns



-



-



ns



Sociétés mises en équivalence



85



93



(8,1%)



85



93



(8,1%)



Gains ou pertes sur autres actifs



23



18



+23,8%



23



18



+23,8%



Variation de valeur des écarts d'acquisition



-



86



(100,0%)



-



-



ns



Résultat avant impôt



1 302



1 391



(6,4%)



1 350



1 305



+3,4%



Impôt



(394)



(362)



+8,9%



(409)



(362)



+12,8%



Rés. net des activ. arrêtées ou en cours de cession



(0)



(1)



ns



(0)



(1)



ns



Résultat net



908



1 028



(11,7%)



941



942



(0,1%)



Intérêts minoritaires



(145)



(172)



(15,7%)



(146)



(154)



(5,6%)



Résultat net part du Groupe



763



856



(10,9%)



796



788



+1,0%



Bénéfice par action (EUR)



0,22



0,25



(14,7%)



0,23



0,23



(0,9%)



Coefficient d'exploitation hors FRU (%)



63,9%



63,3%



+0,6 pp



63,3%



63,3%



+0,0 pp



 


 


A 796 millions d'euros, le résultat net part du Groupe sous-jacent du premier trimestre 2019 intègre des charges IFRIC 21, non linéarisées sur l'année, à hauteur de -403 millions d'euros en résultat net part du Groupe, y compris -308 millions d'euros de contribution au FRU. Non retraitées en éléments spécifiques, ces charges enregistrent une hausse importante (+27 millions d'euros/+7,2% en résultat net part du Groupe) entre le premier trimestre 2018 et le premier trimestre 2019.


Le seul effet périmètre existant sur ce trimestre correspond à la contribution de Banca Leonardo, filiale de Indosuez Wealth Management, intégrée dans le périmètre de consolidation dans le pôle Gestion de l'épargne et Assurances au deuxième trimestre 2018. Il n'est pas significatif sur le résultat net part du Groupe.


 


Le bénéfice par action sous-jacent atteint 0,23 euro par action, en légère baisse (-0,9%) par rapport au premier trimestre 2018, en ligne avec la variation du résultat net part du Groupe attribuable (après déduction des coupons d'AT1, qui sont déduits directement des capitaux propres part du Groupe dans les comptes mais déduits pour le calcul du bénéfice par action, voir p. 19).


 




 


Les métiers de Crédit Agricole S.A. ainsi que les réseaux de distribution du Groupe Crédit Agricole, notamment les Caisses régionales qui distribuent les produits et services des métiers de Crédit Agricole SA, ont, encore ce trimestre, connu un très bon niveau d'activité, que ce soit en crédit, en collecte d'épargne ou en assurances de biens et personnes, participant ainsi au déploiement des ventes croisées propres au modèle de Banque universelle de proximité, au coeur du plan « Ambition stratégique 2020 » :




  • l'Assurance-dommages a atteint 13,6 millions de contrats en portefeuille, soit +5,3% sur un an et le taux d''équipement[7] des clients poursuit sa progression : 36,6% pour les clients des Caisses régionales, soit +1,6 point sur un an et 24,1% pour ceux de LCL, soit +1,3 point, tandis que le chiffre d'affaires au premier trimestre 2019 progresse de +8,6% par rapport au premier trimestre 2018 ; en Assurance-vie la collecte nette a été forte ce trimestre : +2,8 milliards d'euros au premier trimestre 2019, dont +1,2 milliard d'euros en unités de compte ; ces dernières représentent 25,0% de la collecte brute au premier trimestre 2019 et 21,8% des encours Epargne/retraite à fin mars 2019, en hausse de +0,3 point sur un an ; à noter ce trimestre, un démarrage prometteur du partenariat entre Crédit Agricole Assurances et Credito Valtellinese (Creval) en Italie avec 143 millions d'euros de collecte brute en assurance-vie, dont 31% en unités de comptes ;



  • la Gestion d'actifs (Amundi) enregistre ce trimestre une collecte nette positive sur les actifs moyen-long terme à +8,4 milliards d'euros[8], répartie entre le Retail à hauteur de +2,4 milliards d'euros et les Institutionnels pour +6,0 milliards d'euros8, ainsi que des sorties importantes en produits de trésorerie (-9 milliards d'euros) ; au total, le trimestre enregistre donc une collecte nette négative de -6,9 milliards d'euros, largement compensée par un effet marché et change positif de +58,3 milliards d'euros, ce qui porte les encours sous gestion à 1 476 milliards d'euros, en hausse de +1,7% par rapport à fin mars 2018 et de +3,6% par rapport à fin décembre 2018 ;



  • les Banques de proximité affichent toujours un fort dynamisme commercial, avec des taux élevés de croissance des crédits, en particulier en France pour LCL (+9,1% par rapport à fin mars 2018) grâce aux entreprises et les professionnels (+11,8%) et toujours l'habitat (+8,3%), mais aussi en Italie pour CA Italia (+1,8% hors cession de créances douteuses en 2018) avec là aussi une forte croissance des crédits habitat (+18% de crédits habitat en nombre entre le premier trimestre 2018 et le premier trimestre 2019 et +14% en production) largement supérieure à celle du marché (-7,9%[9]) ; en ce qui concerne la collecte, elle enregistre une croissance positive sur un an pour LCL (+5,2%) tirée par la collecte bilan et notamment les dépôts à vue (+11,6%), tandis qu'elle s'affiche en recul pour CA Italia (-1,8%, dont -5,5% pour la collecte bilan) du fait des actions entamées depuis le troisième trimestre 2018 visant à réduire la ressource volatile à coût élevé ; la conquête clients nette se révèle toujours dynamique chez LCL (+18 900 nouveaux clients particuliers et professionnels au premier trimestre 2019) et les taux d'équipement poursuivent leur augmentation à un rythme soutenu (+8,3% de contrats Multi-Risques Habitation, Auto et Santé) ; de son côté CA Italia poursuit l'intégration des trois banques acquises fin 2017, dont la performance commerciale s'améliore sur tous les segments (par exemple, le nombre de crédits habitat octroyés a été multiplié par 2,4 entre le premier trimestre 2018 et le premier trimestre 2019 ;



  • les Services financiers spécialisés voient leurs encours gérés augmenter par rapport à fin mars 2018, de +7,1% en Crédit à la consommation grâce à un niveau soutenu de la production dans ce métier (+8,4% mars/mars) notamment avec les partenariats automobiles (+20,5%), de +2,7% en Crédit-bail, grâce à l'international (+9,9%) et de +2,9% (chiffre d'affaires factoré) en Affacturage, également tiré par l'international (+4,7%) ;



  • enfin, le pôle Grandes clientèles a évolué ce trimestre dans un environnement plus favorable que le premier ou quatrième trimestre 2018, marqué par une reprise d'activité sur les marchés, notamment en émissions de dettes, ce qui a bénéficié à la Banque de marché en Crédit/Taux/Change ; CACIB se positionne à la deuxième place mondiale sur les émissions obligataires en euros[10] ; la Banque d'investissement (émissions d'actions et conseil) a en revanche souffert d'un marché atone ; la Banque de financement a poursuivi son fort développement et en application de son modèle Distribute to originate, CACIB enregistre un taux de distribution moyen sur les douze mois se finissant fin mars 2019 de 42% (+15 points par rapport à 2013, année de démarrage de cette politique) ; enfin, les Services financiers aux institutionnels (CACEIS) ont vu leurs encours conservés progresser de +6,6% et les encours administrés de +0,6% par rapport à fin mars 2018.



Le produit net bancaire sous-jacent est resté stable par rapport au premier trimestre 2018 à 4 903 millions d'euros (+0,1%). Hors le pôle Activités Hors métiers (AHM) dont le produit net bancaire enregistre une baisse marquée de -46 millions d'euros liée à un effet de base défavorable sur des éléments de volatilité comptable non recensés en éléments spécifiques, les pôles métiers affichent une croissance du produit net bancaire sous-jacent de +1,0%. Le pôle Grandes clientèles (+44 millions d'euros/+3,3%) en particulier, enregistre de bonnes performances et notamment en Banque de financement (+6,8%) grâce à des opérations majeures en Banque commerciale (+8,5%) et une activité soutenue dans les Financements structurés (+5,2%). La Banque de marché a également enregistré une excellente performance commerciale en Crédit/Taux/Change. Les revenus sous-jacents de la Banque de proximité en France sont en hausse de +1,3%, l'effet volume ayant permis de compenser la pression sur les marges d'intérêt dans le contexte de taux à nouveau orientés à la baisse, permettant une progression des revenus d'intérêt sur un an. Les Services financiers aux institutionnels ont également connu une hausse sensible de leurs revenus (+3,6%) grâce au développement de l'activité et la hausse des encaisses des clients. En revanche, en Assurances, les revenus sous-jacents sont relativement stables (+0,2% par rapport au premier trimestre 2018), à cause de l'adoption en ce début d'année d'une politique prudente de prélèvement sur la marge financière, dans un contexte marqué par une nouvelle baisse des taux d'intérêt, ainsi que d'un faible taux d'impôt ce trimestre sur les revenus du portefeuille. En Gestion d'actifs, les revenus sous-jacents affichent une baisse modérée de -0,9%, du fait d'une baisse marquée des commissions de surperformance, soit -32 millions d'euros par rapport à un haut niveau au premier trimestre 2018 (52 millions d'euros) que ne parviennent pas à compenser le bon niveau des commissions de gestion (+0,9%). La Banque de proximité en Italie enregistre également un recul de ses revenus sous-jacents (-3,9%), la bonne progression des revenus d'intérêt malgré la persistance des taux négatifs n'ayant pas permis de compenser la baisse des commissions et autres revenus, affectés par l'évolution des marchés financiers sur un an. Enfin, le Crédit à la consommation enregistre ce trimestre une baisse de ses revenus, du fait d'un environnement fortement concurrentiel, néanmoins compensée par une très bonne performance des partenariats automobiles, enregistrée en contribution des sociétés mises en équivalence.


 


La stabilité par rapport au premier trimestre 2018 du produit net bancaire va de pair avec celle des charges d'exploitation hors FRU sous-jacentes (+0,1% dans les deux cas). Ceci confirme la bonne maîtrise des coûts par tous les métiers, qui leur permet de compenser l'inflation naturelle de +1,5%/2%. La hausse de +4 millions d'euros des charges entre les deux périodes masque cependant des évolutions différenciées selon les pôles. Ainsi, le pôle Gestion de l'épargne et Assurances enregistre une hausse des charges d'exploitation hors FRU (+18 millions d'euros/+2,5%) du fait des investissements de développement et de l'intégration dans le périmètre de consolidation de Banca Leonardo. Le pôle Grandes clientèles enregistre également une hausse des coûts (+37 millions d'euros/+4,7%) en lien avec le développement de son activité sur le trimestre. En contrepartie, les pôles Banque de proximité et Services financiers spécialisés affichent des baisses de charges significatives (respectivement -23 millions d'euros/-2,2% et -15 millions d'euros/-4,2%), grâce à la poursuite des plans structurels d'économies. Enfin, le pôle Activités Hors Métiers (AHM) bénéficie de la poursuite des efforts de synergies sur les

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