Alors que le mois boursier de janvier s'achève ce soir (c'est aujourd'hui le jour de liquidation), et que la fin du mois civil est proche, le CAC 40 aura été chahuté. A quelques jours, donc, de la fin du mois, l'indice vedette de la bourse de Paris perd 2% depuis le 1er janvier malgré un rebond à 7000 points ce jour. La volatilité est forte. Une nervosité qui n'existait plus en 2021 est à nouveau palpable dans l'air, et le virus n'est pour une fois pas le responsable. La crise entre Ukraine et Russie commence à effrayer les marchés, le Nasdaq voit nombre de ses valeurs corriger, il perd 14% depuis le 1er janvier, validant presque un flashkrach... et la bourse de Paris importe cette volatilité, en particulier dès qu'une entreprise déçoit ou montre de l'incertitude.
Parmi les grandes valeurs de la bourse de Paris, on a donc vu ATOS dévisser, puis EDF et maintenant ORPEA. Le leader français des sons de santé perd en effet 45% sur une semaine glissante (!!!) et 43% depuis le 1er janvier. Le gros du dévissage se faisant entre hier et aujourd'hui, où le titre perd un tiers de sa valeur!
A l'origine de cela, un livre, dans lequel sont dénoncées certaines pratiques vis-à-vis des patients en EHPAD, ce que conteste le groupe.
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