Chiffre d’affaires 2007 : il grimpe de 7 % à 60,61 milliards d’euros. Le chiffre d’affaires des activités automobiles a atteint 47,45 milliards d’euros (+ 6,4 %), note le constructeur dans un communiqué.
L’an dernier, PSA Peugeot Citroën a vendu 3,23 millions de véhicules.
Résultat net part du groupe : il se monte à 885 millions d’euros, soit de 3,88 euros par action en 2007, à comparer à 183 millions d’euros, ou 0,8 euro, en 2006.
Marge opérationnelle consolidée : elle atteint 1,752 milliard d’euros (en croissance de 56,6 %), soit 2,9 % du chiffre d’affaires, contre 2 % l’année précédente. « L’inflexion de l’évolution de marge opérationnelle constatée au premier semestre est donc confirmée sur l’ensemble de l’année. Avec 3,1 % de marge opérationnelle consolidée au second semestre, le groupe a dépassé son objectif annoncé en juillet 2007 », souligne le groupe.
Le résultat opérationnel courant de l’activité automobile s’élève à 858 millions d’euros, soit 1,8 % du chiffre d’affaires, contre 0,6 % du chiffre d’affaires pour 2006. Ce résultat aidé au relèvement de la marge opérationnelle et montre les premiers fruits du plan de compétitivité Cap 2010, ajoute le groupe automobile : « amélioration de la qualité avec une baisse des dépenses de garantie, forte baisse des frais généraux et des frais fixes, amélioration de la productivité ».
Selon PSA, les réductions de coûts ont apporté un gain de 932 millions d’euros et la croissance de l’activité a rapporté 355 millions. Ces gains ont toutefois été réduits par l’impact de la remontée des coûts (matières premières, salaires, change).
Charges exceptionnelles : leur montant 2007 a été de 632 millions d’euros, en diminution par rapport aux 808 millions comptabilisés en 2006. Cette charge doit permettre « une mise à niveau de la compétitivité du groupe pour préparer l’avenir », dit-il. Elle comprend « pour l’essentiel les dépréciations exceptionnelles réalisées au premier semestre 2007 de certains actifs de la division automobile, les frais de rationalisation et de dépréciations exceptionnelles de Faurecia ainsi que la charge de restructuration liée au plan de départs volontaires ».
Cash flow libre : il est de 1 602 millions d’euros.
Marge brute d’autofinancement des activités industrielles et commerciales : elle atteint 3 515 millions d’euros, à comparer à 3 011 millions d’euros en 2006.
Réduction du besoin en fonds de roulement : elle a apporté une contribution positive de 920 millions d’euros contre 424 millions d’euros l’année précédente.
