L'Euro avait de quoi rebondir en ce début d'année, avec l'arrêt du quantitative easing de la BCE d'une part et, à l'inverse l'arrêt de la hausse des taux aux USA d'autre part. Un double effet de ciseau qui aurait pu être favorable à la devise européenne. Mais le marché regarde davantage le différentiel de croissance entre la zone euro et les USA, et ce dernier demeure favorable aux USA. Le marché se focalise visiblement aussi sur les élections européennes. Ainsi la devise européenne, actuellement à 1.13$, perd 1.4% depuis le 1er janvier.
