Selon les termes de Claude Guéant, une solution amicale serait « préférable à un raid hostile » à propos du souhait de BNP Paribas de racheter sa rivale Société Générale, déclarait-il dans un entretien dimanche dans Le Parisien et Aujourd’hui en France.
Pour le secrétaire général de l’Elysée, « c’est au conseil d'administration de la Société Générale de se déterminer. C’est aussi au marché de lui donner des indications » car « nous sommes dans un système ouvert, libéral ». « Pour les pouvoirs publics, une chose est certaine : une solution amicale serait bien préférable à un raid hostile qui serait lancé par quelque établissement financier que ce soit ».