Ce mercredi 16 juillet, le marché parisien a frôlé la rupture sans basculer. Le CAC 40 est stable, mais la menace d’une cassure technique s’est précisée dans la matinée, venant mettre à l’épreuve le rebond entamé il y a près d’un mois.
Dans un contexte de consolidation générale, le CAC 40 ne gagne plus que 5 % depuis le 1er janvier.
En comparaison, nos portefeuilles Francebourse — tous deux actualisés aujourd’hui — conservent une avance nette :
+21,54 % pour le portefeuille Croissance,
+21,04 % pour le portefeuille Rendement.
Mais le fait marquant du jour ne vient pas de l’indice lui-même, mais d’un choc isolé d’une violence rare : Renault s’effondre de 18 % en séance, après un profit warning sévère.
Le groupe révise brutalement à la baisse son objectif de free cash flow pour 2025, provoquant une chute totale de –28 % depuis le 1er janvier.
Et pourtant… pas de panique sur le secteur
Ce qui est frappant, c’est l’absence quasi-totale de contagion.
Ni Stellantis, ni OPMobility, ni d'autres valeurs ne subissent de repli marqué.
Le marché semble avoir intégré l’alerte comme un cas d’espèce, non comme un signal systémique.
Même Aramis, pourtant exposée à la filière auto, rebondit légèrement.
Nous le disions dans la Quinzaine du 15 juillet : le marché devient plus efficient.
Il discrimine. Il trie. Il ne jette plus tout avec l’eau du bain. Et c’est une très bonne nouvelle.
Notre stratégie reste inchangée
Elle est exposée dans le mail suivant :
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